Depuis le 2 février, le recours au télétravail est recommandé. Retrouvez les nouvelles dispositions applicable au 16 février du protocole national.
Télétravail : Depuis le 2 février 2022, le recours au télétravail est recommandé. Les employeurs fixent, dans le cadre du dialogue social de proximité, les modalités de recours au télétravail.
Les réunions : Les réunions en audio ou en visioconférence restent à privilégier. Lorsqu’elles se tiennent en présentiel, les réunions doivent respecter les gestes barrières, notamment le port du masque, les mesures d’aération/ ventilation des locaux ainsi que les règles de distanciation.
Les moments de convivialité en entreprise : Ces moments dans le cadre professionnel peuvent être organisés dans le strict respect des gestes barrières, notamment le port du masque, les mesures d’aération/ventilation et les règles de distanciation.
La fin du masque en intérieur pourrait entrer en vigueur dès la mi-mars. Selon Benoit Serre, vice-président délégué de l’ANDRH cette mesure est « une excellente nouvelle puisqu'il a un impact sur le fonctionnement de l'entreprise.
« Ça nous aidera beaucoup à faire redémarrer l'unité de notre corps social et à faire repartir une entreprise normalement", estime-t'il sur France info.
Les 18-35 ans n’entretiennent pas le même lien à l’emploi que leurs aînés. Leurs priorités au travail : autonomie, quête de sens, culte de l’instant présent.
Audrey Richard, présidente nationale de l’ANDRH, note dans une interview avec La Croix, une augmentation des démissions. « Nous n’avons pas encore de chiffres mais beaucoup de mes collègues ont été confrontés à cette situation, notamment après le premier confinement ».
De plus en plus de jeunes disparaissent aussi sans donner de nouvelles après leur entretien d’embauche ou leur premier jour dans l’entreprise. » La jeune génération est également exigeante à l’égard de l’entreprise, dont elle attend qu’elle s’engage sur la préservation de l’environnement, la lutte contre le racisme et les discriminations. De plus le sujet des inégalités entre les femmes et les hommes reste une de leur priorité tout comme la quête de sens.
Pour Laurence Breton-Kueny, vice-présidente de l’ANDRH, interviewée par La Dépêche, ces départs sont principalement liés à une croissance de l’économie.
« En concurrence, les entreprises essaient de se démarquer en proposant des packagings intéressants afin d’attirer les talents. Cette situation pousse certains salariés déjà en place à quitter leur poste. Mais si on regarde le turn-over, nous n’observons pas de différence notable. C’est plus un rebond par rapport aux dernières années où les personnes n’ont pas osé franchir le pas car elle n’avait pas de visibilité sur l’avenir. En revanche, il y a un véritable changement qui a été opéré quant à notre rapport au travail ».
Retrouvez l’ensemble des prises de position ainsi que les retombées presse dans notre espace presse.