"Je ne suis pas lisse, je ne suis pas parfait, je filoute parfois professionnellement, c’est aussi ce que l’on attend de moi", licencié plusieurs fois, dont deux pour faute grave, les zones d’ombre du passé de Didier Bille. #DRH #EnvoyeSpecial pic.twitter.com/x4M8SJC1RZ
— Envoyé spécial (@EnvoyeSpecial) 8 mars 2018
« C'est un livre qui jette l'opprobre sur une profession tout entière », s'étouffe Jean- Paul Charlez, président de l'ANDRH (Association nationale des directeurs de ressources humaines). Le directeur des ressources humaines d'Etam n'a, semble-t-il, pas goûté l'ouvrage « DRH : la Machine à broyer », et rejette les pratiques qui y sont décrites. « Si ces pratiques illégales existent, elles sont stupides et, si cette personne se prétend DRH, il est indigne de cette profession », réagit-il, tout en se défendant de vouloir « faire naître une polémique ».« Jamais je n'aurais appliqué de telles méthodes même si on me l'avait demandé », assure-t-il, notant au passage que le « DRH bashing » est une pratique en vogue et que ce livre s'inscrit dans le sillage de « Corporate », film sorti en 2016 avec Lambert Wilson.