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"Répondre aux besoins du collectif me donnent le sentiment d’être à ma place."

Adhérents depuis plus de 10 ans à l’ANDRH, Olivier Cruchot et Sandrine Le Meur sont des membres investis au sein de leur groupe local. Respectivement correspondant des relations extérieures et trésorière, ils partagent, à l’occasion de la Journée internationale des bénévoles, leur vision de l’engagement, leurs motivations et les moments forts dont ils sont fiers.

Avec Olivier Cruchot, Correspondant des relations extérieures, ANDRH Paris-Maillot :

 

Depuis quand êtes-vous bénévole ?

Je suis adhérent à l’ANDRH depuis 2008 au sein du groupe local Paris Maillot, avant d’intégré le bureau il y a environ quatre ans. Mon parcours de bénévole ne se limite pas à l’ANDRH : je suis également engagé dans d’autres associations, comme la Fédération française des motards en sécurité, et j’ai été bénévole lors des Jeux Olympiques et Paralympiques.

Qu’est-ce que l’ANDRH vous apporte au quotidien ?

L’ANDRH, c’est avant tout un collectif et un réseau. Cela me permet de rencontrer, d’accompagner et d’aider des personnes. Ce qui me motive, c’est le partage : transmettre mon expérience, voir les membres échanger, s’entraider et repartir heureux d’avoir participé. C’est cette dynamique de groupe et cette capacité à répondre aux besoins du collectif qui me donnent le sentiment d’être à ma place.

Quel est le projet ou l’événement dont vous êtes le plus fier ?

Je retiens particulièrement l’organisation de la visite de Canal +, ainsi que la soirée annuelle de notre groupe. J’ai aussi eu la chance d’animer une assemblée générale au Stade de France. Ce qui compte pour moi, ce n’est pas tant la réussite personnelle, mais le fait que les autres soient satisfaits et repartent avec le sourire. Quand les membres me remercient ou expriment leur joie d’avoir participé, je considère que le job de bénévole est accompli.

Si vous deviez résumer le rôle de bénévole en trois mots ?

  • L’engagement : on ne peut pas être bénévole sans s’investir pleinement, sans donner de son temps et de son énergie.
  • L’empathie qui permet de comprendre les besoins des autres, d’accompagner ceux qui traversent des difficultés, que ce soit dans le cadre professionnel ou personnel.
  • L’organisation est indispensable pour cadrer les actions, préparer les événements et assurer leur bon déroulement.

Sans ces trois qualités, il est difficile de s’épanouir dans le bénévolat !

 

Avec Sandrine Le Meur, trésorière, ANDRH Poitou-Charentes et membre de la C2C :

 

Depuis quand êtes-vous bénévole ?

Je suis adhérente à l’ANDRH depuis 2015. Progressivement, je me suis impliquée au sein du bureau local, devenant bénévole pour le groupe Poitou-Charentes.

Qu’est-ce que l’ANDRH vous apporte au quotidien ?

L’ANDRH m’apporte beaucoup, tant sur le plan professionnel qu’humain. Professionnellement, la communication et les actions menées au niveau national sont une vraie source d’inspiration et d’enrichissement. Mais c’est surtout le rôle de bénévole qui me tient à cœur : s’engager, transmettre la « bonne parole » de l’ANDRH, permettre à d’autres d’en profiter, et créer du lien localement. Nos fonctions RH peuvent parfois être solitaires, et le groupe offre un espace d’échange où l’on partage ses problématiques, ses réflexions, et où l’on se rend compte qu’on n’est pas seul. Ces échanges permettent souvent de trouver des solutions à appliquer dans nos entreprises.

Qu’est-ce que l’ANDRH vous apporte au quotidien ?

Humainement, c’est une vraie richesse. Les membres du groupe sont sympathiques, et organiser des événements pour eux est toujours un plaisir. Au fil du temps, des relations fortes se créent. Faire venir des intervenants, organiser des rencontres, c’est gratifiant, surtout quand on voit que l’investissement porte ses fruits et que le groupe Poitou-Charentes compte au niveau national.

Quel est le projet ou l’événement dont vous êtes le plus fier ?

Ce n’est pas une action ponctuelle, mais un engagement sur le long terme. Depuis plusieurs années, je participe à l’université de l’ANDRH, souvent en étant la seule représentante du groupe Poitou-Charentes. J’ai encouragé mes collègues à venir, et aujourd’hui, nous sommes de plus en plus nombreux. J’ai aussi porté le projet d’organiser l’université dans notre région, ce qui serait une belle reconnaissance. Même si cela n’a pas encore abouti, c’est une démarche qui me tient à cœur.

Si vous deviez résumer le rôle de bénévole en trois mots ?

  • Convivialité : Apporter de la convivialité au groupe, créer une ambiance chaleureuse et fédératrice.
  • Fédérer : Rassembler les membres, créer du lien et donner une légitimité au groupe.
  • Légitimité : Être reconnue par les adhérents, sentir que l’on compte et que l’investissement est apprécié.
Montage : Martine Portier
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